melhs me vai c'al tems florit,
car l'amors qu'eu plus volh, me vol.
lonc tems a qu’eu no chantei mai, b. de ventadorn
du reste il y a du reste,
reste à savoir où — ça se voit
à même un pas
ou pas, tu, coniférien:
rien qu’une
brulûre
lue
au fin mélèze
crû
tout seul
dans l’affolée
nette, celle
lancée ouverte, call it ( hott! )
love, ô
laie guée, noire dans la forêt,
et fort d’une
france antarctique à la thévet,
singularitéz ou
fortune
à deux, murmure
aneuf
d’une braise plus qu’affamée,
petit apédit lu-
xé
à la montagne
des cannibales chocolatiers, bon
pur, somme
tout noir-
âtre (rien
que du blanc à songer
au choa) ci-hier;
louche allure
si près de mon cru, que
de lunures
passées au feu
blanc, entre
québec et
presque isle
de maine, errant
gros-bec —
hier, main, reste
à l’âge du chantage supposé sans reste
l’autochant de l’ami de l’amie
prototype, fière
autochtone, démise? ou,
plus d’une fois hier, manifeste, lonc tems
aile de jaiet, l’autre senestre, ünülniéi ñi pu mapü (mi
piel), plus d’un foyer?
1 comentario:
amóntema, el francés fue penetrado por petir y filoso cuchillo del aymara...!que culotte meu deus!
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